Les délais entre mes posts augmentent toujours, ça sent la fin.
Je ne suis pas en forme, même si je suis des cours de work-out deux fois par semaine et que j'ai repris mon alimentation en main. Les cellules qui devait être éliminées cet été sont, selon toutes vraisemblances, toujours présentes dans mon corps. En fait, il s'agirait maintenant de cellules différentes, mais non-moins néfastes. Moi qui croyait en août, lors de l'intervention pratiquée par mon docteur que la fin de ce triste épidose approchait (et donc que mon prochain contrôle allait avoir lieu en février , wow, 6 mois plus tard), et bien me voilà de nouveau hantée par l'agoisse de mes cellules pr-cancéreuses. Un mois de répit, le temps de prendre une semaine de vacances, c'est tout ce à quoi j'aurai eu droit avant que mon cauchemar ne revienne en force. Aussitôt de retour au boulot que je recevais un appel de la secrétaire de mon docteur, il me fallait prendre un nouveau rendez-vous d'ici moins de 6 semaines. Il ne m'en fallait pas plus pour angoisser de nouveau. L'idée que je sois habitée de cellules pré-cancéreuses, même si cela peut sembler banal pour plusieurs, me terrorise. Je ne peux passer une journée sans y penser, sans que les larmes me montent aux yeux. J'angoisse, je n'en dors plus la nuit. Moins je dors, plus j'angoisse, plus j'angoisse, moins je dors. J'ai beau tenter de m'occuper au maximum, le boulot, la vie de famille, le cours d'université, l'entrainement deux soirs par semaine, rien n'y fait, j'y pense toujours. C'est plus fort que moi. J'ai toujours eu une peur atroce du cancer (sous toutes ses formes), j'ai désormais l'impression que j'ai "un pied dans la porte", même si mon docteur vient à bout d'extirper ces saletés de mon corps, j'aurai toujours la crainte que cela ne revienne en force, parce qu'il y aura toujours, pour moi, un risque plus grand que chez les gens qui n'ont jamais eu ce genre de cellules...
Je ne suis pas en forme, même si je suis des cours de work-out deux fois par semaine et que j'ai repris mon alimentation en main. Les cellules qui devait être éliminées cet été sont, selon toutes vraisemblances, toujours présentes dans mon corps. En fait, il s'agirait maintenant de cellules différentes, mais non-moins néfastes. Moi qui croyait en août, lors de l'intervention pratiquée par mon docteur que la fin de ce triste épidose approchait (et donc que mon prochain contrôle allait avoir lieu en février , wow, 6 mois plus tard), et bien me voilà de nouveau hantée par l'agoisse de mes cellules pr-cancéreuses. Un mois de répit, le temps de prendre une semaine de vacances, c'est tout ce à quoi j'aurai eu droit avant que mon cauchemar ne revienne en force. Aussitôt de retour au boulot que je recevais un appel de la secrétaire de mon docteur, il me fallait prendre un nouveau rendez-vous d'ici moins de 6 semaines. Il ne m'en fallait pas plus pour angoisser de nouveau. L'idée que je sois habitée de cellules pré-cancéreuses, même si cela peut sembler banal pour plusieurs, me terrorise. Je ne peux passer une journée sans y penser, sans que les larmes me montent aux yeux. J'angoisse, je n'en dors plus la nuit. Moins je dors, plus j'angoisse, plus j'angoisse, moins je dors. J'ai beau tenter de m'occuper au maximum, le boulot, la vie de famille, le cours d'université, l'entrainement deux soirs par semaine, rien n'y fait, j'y pense toujours. C'est plus fort que moi. J'ai toujours eu une peur atroce du cancer (sous toutes ses formes), j'ai désormais l'impression que j'ai "un pied dans la porte", même si mon docteur vient à bout d'extirper ces saletés de mon corps, j'aurai toujours la crainte que cela ne revienne en force, parce qu'il y aura toujours, pour moi, un risque plus grand que chez les gens qui n'ont jamais eu ce genre de cellules...
1 commentaire:
Courage ma belle :) je t'envoie plein de bonne pensée positive :) bisou xx
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